Vendredi 9 mai 2008
Promenade dans le quartier historique en avant-midi, et rendez-vous pour 12h30 à la Galerie Uffizi; lorsqu'on aperçoit la mégafile sans fin de touristes qui veulent y entrer, je me félicite d'avoir acheté mes billets sur internet voilà un mois déjà.
Beau musée, un peu répétitif toutefois côté oeuvres sacrées et religieuses. Quatre heures de visites entrecoupées d'une pause dîner-comptoir au resto du musée (3 fois moins cher que sur la terrasse). Les oeuvres majeures et célèbres à noter au passage : deux superbes Botticelli très connus, soient «La naissance de Vénus» (tous les adeptes de Mac et Adobe reconnaissent la tête de la dite Vénus) et «Le printemps», puis un jeune Léonard de Vinci, «L'annonciation», et le «Bacchus» de Caravage. Contrairement aux grands musées parisiens, les musées florentins interdisent formellement toute prise de photo, même sans flash. Probablement une façon de vendre plus de cartes postales... Ça fait tout de meme un peu mercantile... Mais j'ai pris en cachette une vue d'ensemble de la salle où l'on aperçoit les fameux Botticelli, ce qui ne m'a évidemment pas empêché d'acheter les repros de mes tableaux préférés en cartes. On ressort du musée affamés pour une gelato.
Après une pause repos et internet, on s'offre une petite promenade dans un quartier collé au nôtre, la Piazza Santo Spirito, où la jeunesse florentine se rassemble pour prendre un verre qui sur une terrasse, qui sur le parvis de l'église, qui dans le parc. Il ne semble y avoir aucun problème à consommer sa grosse quille (moyenne, mettons, elle vaut 2 bières seulement) en plein espace public. Un peu las, on opte pour l'achat d'excellentes pizze à emporter et on arrête au dépanneur vietnamien du coin (ben oui) s'acheter le petit boire qui va avec, Chianti pour moi et bière pour mon chum. Bon choix pour tout.
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